Rires, mystères et recoins
Repère de la tribu, la maison rose
Ses souvenirs elle gardera
Si dans ta vie tu fais une pause
Avec toi elle les partagera
Reviendront les odeurs de la mer et des foins

Rires, mystères et recoins
Repère de la tribu, la maison rose
Ses souvenirs elle gardera
Si dans ta vie tu fais une pause
Avec toi elle les partagera
Reviendront les odeurs de la mer et des foins
Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Tout autour de la terre
nous avons rencontré
la mer qui se promenait
avec tous ses coquillages
ses îles parfumées…
Pâquerette fluette
Viens t’en à la buvette
Nous boirons en cachette
Criera le jaune ajonc
Moi y tout, pour de bon
Ensemble nous boirons
Au soleil retrouvé
Aux couleurs dans les prés
Aux fleurettes parfumées
A la sève montant
Au bourdon vrombissant
Au passereau chantant
Nous boirons le doux vin
Au parfum si divin
Arrivé ce matin
Pour répondre à une question de mon Amie Adry. Je cite toujours mes sources et quand je ne connais pas l’origine d’un texte je le précise également.Tout le reste est donc de moi.
Il se trouve que Joël a dû me passer le virus car je me suis surpris moi-même à écrire des poèmes, ça m’est venu comme ça en faisant des balades-photos, qui l’eût cru, j’ai osé ! Merci Joël.
Cette semaine c’est un peu « hard »
Bonne énergie tout de même pour cette semaine
Urbaine culture
Il ne reste plus de nature
Dans les villes aux rues asphaltées
Pour rêver il reste les murs
Qui crient la rage exacerbée
D’âmes meurtries en déshérence
Il leur reste l’urbaine culture.
Encore une ultime espérance
Jette ses couleurs sur les murs.
Tags étalés dans un grand cri
Sur les surfaces de béton
Rock’n’roll déchirant la nuit
Impossible de rire, pleurons
La météo était bien pessimiste, nous avons eu des matinées superbes, et même plus j’en ai profité pour promener mon appareil photo dans les champs de maïs.
On y fait des rencontres parfois normales, parfois étranges, tel ce tamanoir à bosse. Je vous invite à découvrir cela dans ce pdf en quatre pages.
Ma pensée de la semaine est extraite du roman de Hélène Grémillon « Le confident » :
<< ce ne sont pas les autres qui nous infligent les pires déceptions mais le choc entre la réalité et les emballements de notre imagination. >>
Etant entrain de le lire je n’ai pas d’avis définitif sur ce roman, par contre mon dernier lu est un vrai coup de cœur, il s’agit de « Une année chez les Français » de Fouad Laroui. Sans doute assez autobiographique cette histoire d’un petit Marocain du bled qui se retrouve interne au lycée Français de Casablanca parce que son instituteur lui a obtenu une bourse. Un martien chez les terriens. Un vrai bijou d’humour et de langue Française.